Le 22 avril dernier avait lieu le jour de la Terre. Il avait pour but de conscientiser la population aux nombreux problèmes environnementaux auxquels nous faisons face et surtout, renseigner les gens sur les différentes actions qu'ils peuvent porter au quotidien pour améliorer la situation.

Loin de moi l'idée de critiquer une telle initiative, mais je doute beaucoup de l'influence des individus dans un problème de cette taille. Au point où nous sommes rendus (car nous faisons vraiment face à des catastrophes naturelles dévastatrices), il ne suffit plus de fermer ses lumières deux minutes plus tôt, ou de prendre sa douche moins longtemps. Il faut conserver nos bonnes habitudes, mais l'infime diminution d'émission de gaz à effet de serre obtenue avec nos efforts, peu importe s'ils sont faits avec bonne volonté, sera totalement insuffisante.

Il est temps de prendre de vraies décisions. Des décisions qui vont changer notre façon de vivre, mais qui nous permettront de vivre, justement. Les gouvernements DOIVENT agir, et pas seulement pour faire plaisir aux gens, parce que l'écologie est à la mode. Voilà un autre mouvement qui ne suffit pas. Plusieurs gens prennent position simplement parce que le sujet est d'actualité, qu'il paraît bien d'être écolo. Le gouvernement tente tant bien que mal de suivre cette lignée, mais honnêtement, ce n'est pas en mettant une petite "pinne" verte sur sa cravate qu'on va révolutionner le monde. On n'a plus de temps pour penser à notre économie, à notre bon vieux capitalisme qui nous distancie du reste des "pauvres gens" et des pays du Sud. Il faut laisser tout cela de côté et mettre de l'avant des nouvelles technologies, des mesures qui vont faire une différence.

L'environnement devrait être la priorité, simplement parce qu'on n'a plus le choix. Le jour où les États-Unis s'en rendront compte, nous en serons grandement avantagés (et soulagés), mais ce ne sera pas une raison pour s'asseoir là-dessus. Désormais, sauver l'environnement est une affaire de tous les jours. Nous nous devons de bien cohabiter avec notre Terre.

Lundi dernier, un jeune asiatique s'est introduit à l'université de Virginia Tech et a tué 32 personnes, plongeant toute l'Amérique dans un état de deuil et de réflexion. Il ne s'agit pas de la première fusillade survenant dans une école nord-américaine; notons entre autres la Polytechnique, Columbine, et, plus récemment, Dawson. Le jeune responsable du crime a mis fin à sa vie après ses actes. Il s'agissait, paraît-il, d'un jeune très réservé, renfermé et timide.Cette nouvelle laisse place à de nombreuses questions, comme le contrôle des armes à feu, la place de la violence dans notre société, le soutien psychologique offert aux jeunes, etc.

Devrions-nous légiférer la possession d'armes à feu? Il est certain que l'accessibilité des armes n'aide en rien les nombreuses fusillades. En pouvant se procurer un fusil comme on se procure un jeu de cartes, l'acte n'en est que facilité. Bien sûr, si le tueur est déterminé à agir, rien ne l'empêchera d'arriver à ses fins. Par contre, on pourrait certainement éviter plusieurs actes incertains, qui sont probablement pris à la légère. Ceux qui utilisent des armes à feu pour leurs loisirs devraient se conformer à la loi, mais je doute que tous les américains aient besoin d'un fusil dans le tiroir de leur table de chevet. Ça ne pourrait que faire du bien de reprendre un peu de contrôle sur l'étendue des armes.

Il est difficile de comprendre de tels actes. Aussi, nous sentons immédiatement le besoin de remettre en cause une tonne de facteurs. Il est vrai que la violence est de plus en plus présente dans notre société, et que les jeux vidéo offerts aux jeunes ne montrent certainement pas un bon exemple pour la "vraie vie". Toutefois, est-ce vraiment là une raison suffisante pour inciter un jeune à tuer une trentaine de personnes innocentes ? Je crois que les jeux violents devraient être consommés avec modération, sans toutefois être bannis de toute maison abritant quelques enfants.

Certes, la présence abondante de la violence est présente dans notre société, que ce soit au cinéma, à la télévision, dans les jeux vidéos, dans la publicité, etc. est un problème qui va en s'aggravant, mais peu importe la gravité de la situation, ce n'est pas une raison suffisante pour justifier une tuerie. Un problème doit déjà être là au départ. Certaines personnes ont clamé haut et fort que l'entourage du jeune n'avait pas été assez compréhensif, présent et avait ainsi été incapable de prévenir l'incident. Peut-être que le personnel de l'école a laissé passer quelques détails qui auraient dû être notés, mais comment peut on réellement aider quelqu'un qui ne souhaite pas être aidé, ou qui nie ses problèmes ? C'est très difficile, et on est toujours très loin d'imaginer le pire. Une conscientisation générale peut être une bonne idée, mais la résolution de problèmes aussi graves sera toujours très complexe et quasi-impossible.

Bien sûr, après qu'un tel évènement soit arrivé, il serait considéré inhumain et cruel de dire que tout ce qui s'est passé devait arriver, mais il est quand même un peu irréel de croire que l'on peut toujours prévenir ces incidents avec de grands idéaux et de grandes lignes de pensée, qui ne seront jamais suffisants. On fait face, ici, à la bêtise humaine, aussi imprévisible et abérante soit-elle.

Daytona est un documentaire, ressemblant un peu à une téléréalité, qui montre un aperçu de la vie d'une dizaine de jeunes pendant leur semaine de relâche, qu'ils passent dans la ville de Daytona, en Floride. Ils se rendent à cet endroit renommé pour vivre une semaine de débauche totale.

Le film présente autant de points forts que de faiblesses. Autant le film présente le sujet de manière très artistique et impose un certain point de vue avec sa musique, ses prises de vues et ses couleurs, autant il n'a pas beaucoup de contenu et de délicatesse. Le documentaire se révèle beaucoup trop long pour ce qu'il a à dire, ce qui rend peu à peu les personnages pathétiques et sans espoir aux yeux du spectateur. Beaucoup de malaises, également, dans les séquences longues et silencieuses qui forment ce documentaire hors de l'ordinaire. Les activités __ des vacanciers sont abordées en long et en large, aucun détail n'est mis de côté.

Il est difficile de croire que ces vacances sont le rêve de plusieurs jeunes québécois à chaque année, étant donné ce qui les attend réellement à cet endroit "décadent".

Les élections provinciales approchent au Québec. Voici donc un résumé des principaux partis qui font partie de la course électorale :

Parti Libéral

"Le Parti libéral du Québec est le seul parti visant à faire du Québec une nation qui réunit la justice sociale, le progrès économique et la protection de l’environnement, tout en assumant un leadership fort à l’intérieur de la fédération canadienne."

Le chef est Jean Charest, qui est le premier ministre sortant. Ce parti a accompli et a été témoin de beaucoup de chose durant le mandat précédent. C'est sous leur pouvoir que le viaduc de la Concorde s'est effondré, qu'il y a eu le débat autour des accomodements raisonnables... Ils ont cinq principaux objectifs de gestion s'ils sont ré-élus : le contrôle des dépenses, la diminution des coûts de gestion, la réduction de la taille de l'État, la réduction de la dette et la maintenance des impôts à la moyenne canadienne. Leur principe est de bien gérer l'argent des citoyens. En ordre, leurs priorités sont : la santé, l'éducation, l'aide à la famille, la création de richesse, le développement durable et l'environnement, et finalement, la culture et l'identité.

Parti Québécois

Ce parti a un chef qui cherche toujours à faire ses preuves, André Boisclair. Ayant été au centre de quelques histoires des plus douteuses, Boisclair tente de faire son chemin vers la reconnaissance et de faire bonne compétition à Jean Charest. Le but premier du parti est d'obtenir la souveraineté nationale du Québec. Leurs sept priorités sont : l’éducation, l’environnement, le développement économique, la santé, le développement des régions, la solidarité sociale et la saine gestion gouvernementale.

Action Démocratique du Québec

L'Action Démocratique du Québec (ADQ) a pour chef Mario Dumont. Dernièrement, certains lui ont reproché de ne pas connaître les chiffres de son propre parti, qu'il ne veut dévoiler qu'à l'annonce du budget fédéral. Est-ce le cas? L'objectif du programme est de réaliser un Québec autonome, à l'intérieur d'un Canada uni. Un Québec qui serait également plus humain, plus autonome et plus riche. Voici leurs objectifs et les différentes priorités de leur gouvernement : autonomie du Québec (s'affirmer, sans séparation), identité québécoise, familles (aider TOUTES les familles), éducation (écoles autonomes), santé, solidarité sociale, justice, environnement, développement régional (les régions sont très importantes, devraient réaliser leur autonomie), économie, finances publiques, ainsi que la fiscalité.

Québec Solidaire

Ce parti a deux chefs : Françoise David et Amir Khadir. Leur objectif est que tous les Québécois collaborent pour créer un Québec "qui garantira les valeurs de justice sociale, de protection environnementale, d’égalité entre les sexes, et de participation de tous les citoyen-ne-s aux décisions politiques." Selon ce parti, la collectivité est plus importante que les individus, et ils se voient comme une alternative aux autres partis politiques, qui prône l'égalité et la justice sociale. Ils sont contre le capitalisme, écologistes, de gauche, démocrates, féministes, altermondialistes et veulent un Québec pluriel, souverain et solidaire.

Parti Vert

Le chef du Parti Vert est Scott McKay. L'élément principal de leur parti est le développement durable au Québec, pour améliorer la qualité de vie. Bien qu'ils aient d'autres objectifs, l'environnement est leur préoccupation principale, et leur parti réunit tous les gens qui ont le bien-être de la province à coeur. Ce parti suit une vague internationale.

Depuis le 13 février dernier, les spectateurs peuvent bénéficier d'une nouvelle télésérie assez innovatrice à la télévision de Radio-Canada : La Galère. L'idée originale de cette série est venue de Renée-Claude Brazeau, qui a également produit le script. La réalisation des premiers épisodes a été faite par Sophie Lorain, alors que les autres ont été réalisés par Alexis Durant-Brault. Les comédiennes incarnant les quatres femmes liées d'amitié sont Hélène Florent, Brigitte Lafleur, Anne Casabonne et Geneviève Rochette.

L'oeuvre raconte l'histoire de quatre jeunes femmes qui se connaissent depuis l'adolescence. N'ayant pas perdu contact depuis, mais ayant des vies totalement différentes, ces amies décident de faire vie commune pour un an, afin d'éviter leurs vies quotidiennes respectives. Car elles possèdent toutes des "bobos", des tracas, que ce soit tout simplement leur mari, le quotidien trop chargé, les enfants trop nombreux, la vie professionnelle difficile ou encore l'attente du prince charmant qui devient longue. Cette série se veut sans aucun doute le penchant féminin de la série fort bien reçue par les critiques, Les Invincibles, tout en se démarquant dans la forme et dans le type d'humour, beaucoup plus accessible (pour les adultes avertis).

La série est bien conçue, et plusieurs moments cocasses sont tout simplement irrésistibles. Malgré quelques longueurs, le déroulement des différentes histoires est très bien découpé, et on s'ennuie rarement dans cette aventure 100% féminine. Toutefois, il est important de mentionner le jeu assez inégal des comédien(ne)s. L'impression d'exaggération est quasi-omniprésente et il est difficile de s'abandonner complètement à l'histoire. Les réactions sont amplifiées et les répliques sont souvent lancées de façon un peu trop naïves, peu naturelles. La bande sonore, quant à elle, est très différente et surprenante et comprend des pièces d'artistes québécois, qui vont parfaitement avec l'atmosphère de l'émission.

Récemment, un sondage a été mené par Léger Marketing auprès de la population québécoise en ce qui concerne la question du racisme. Des Québécois de souche ainsi que des citoyens appartenant à d'autres communautés ethniques ont été interrogés. Les résultats de ce sondage ont été diffusés dans le Journal de Montréal et depuis, les débats et discussions concernant le racisme au Québec fusent de toutes parts. Est-ce que les résultats du sondage doivent réellement être pris au sérieux?

Il est important de souligner que les 59% des Québécois se disant racistes dans le sondage comprennent tous les gens qui seraient moyennement et faiblement racistes. L'interprétation faite de ces données par les médias a été axée sur une statistique un peu superficielle et sensationnaliste, ce qui a apporté un sens très différent aux résultats.

De plus, le chaud débat ayant lieu actuellement sur l'accommodement raisonnable n'a fait que creuser encore plus profondément les fossés entre les différentes cultures. Dans ce climat de tension entre les différentes nationalités, la décision de faire un sondage sur le sujet du racisme au Québec n'était pas très judicieuse et de ce fait, les résultats n'étaient pas aussi importants et crédibles.

La province de Québec accueille beaucoup d'immigrants à chaque année et les gens sondés considèrent même la population comme moins raciste qu'il y a dix ans. Il est toutefois logique qu'à force d'accueillir beaucoup de nouveaux gens dans le pays, la demande pour des accomodements et pour la reconnaissance des différentes cultures grandisse. Beaucoup de gens ne font pas la nuance entre le racisme et le simple inconfort que certains peuvent ressentir sans croire pour autantque les Québécois de souche soient plus forts que les autres, qu'il existe une hiérarchie des "races".

Bref, après de nombreux remous sur le sujet, il est temps de laisser les choses, de se calmer et de passer à autre chose. Il y a une limite à s'inventer des bobos.

Last Holiday, réalisé par Wayne Wang, raconte les déboires d'une femme dans la trentaine qui apprend, après un malheureux incident, qu'elle va mourir d'une maladie inconnue et incurable. Elle décide alors d'entreprendre la réalisation de ses rêves, jalousement cachés dans un livre de "possibilités". L'infortunée flambe tout son argent et côtoie ainsi des gens des plus étonnants...

Quoique l'histoire se révèle un peu banale, le film présente tout de même quelques évènements cocasses très comiques et qui font de Last Holiday un bon film dans son genre. Queen Latifah ne renouvelle pas vraiment son jeu, mais reste convaincante dans le rôle principal. Beaucoup de plans sont très bien réussis, comme lors du saut en parachute, ou encore le somptueux buffet. La musique permet aussi d'installer une ambiance agréable tout le long du film.

Bref, cette histoire sort un peu du cadre ordinaire du film de Noël typique et permet une détente célébrale complète. Il s'agit d'un petit bonbon qu'il est bon de s'offrir de temps à autres.

La société dans laquelle nous vivons de nos jours est bien différente qu'avant et a changé de façon drastique en très peu de temps. Il est désormais possible d'observer de nouveaux et différents phénomènes sociaux, et la situation du couple n'est plus du tout pareille. De nos jours, tout est permis, et l'infidélité s'avère être monnaie courante auprès de certains couples.

Cependant, le sentiment d'amour n'a quant à lui pas changé. Il serait faux, selon moi, de dire que l'amour n'existe pas et qu'une relation n'est toujours qu'à sens unique. Vrai, la perception de la relation n'implique probablement pas la notion de fidélité pour certains individus, mais il n'en reste pas moins qu'il s'agit là d'une valeur importante pour bon nombre de gens.

À mon opinion, la fidélité est une forme de respect mutuel et démontre la véritable importance accordée à l'autre. La fidélité ne devrait pas être difficile et si elle l'est, le problème se situe dans la relation et dans les sentiments éprouvés. Comme l'a dit une source inépuisable de paroles de sagesse : "Quand tu es bien avec une personne... tu n'as pas envie de regarder ailleurs.". La fidélité mousse également la confiance, qui renforcit la relation. Rien n'est plus beau et touchant qu'un couple qui peut se faire entièrement confiance quant à leurs agirs mutuels.

Bien sûr, la fidélité est souhaitable dans toute relation amoureuse et rien n'excuse un acte d'infidélité si la personne se dit heureuse avec la personne qu'elle aime. Par contre, des personnes ne partagent pas cet opinion et jugent que la fidélité est impraticable de nos jours, avec les nombreux stéréotypes et tentations qui fusent de partout.

Toutefois, il me semble naturel de penser premièrement aux répercussions de nos actes, et d'en remettre les motivations en perspective. Le véritable amour mérite la plus sincère fidélité.

Le 9 novembre dernier, les élèves de cinquième secondaire à Regina Assumpta ainsi que l’équipe d’enseignants ont célébré le Jour du Souvenir. Dans l’après-midi, après avoir reçu le désormais célèbre coquelicot et des dépliants explicatifs, les jeunes ont été conviés au visionnement d’un montage vidéo à la salle Jeanne-Sauvé. Cette vidéo faisait une brève récapitulation d’évènements majeurs du 20^e siècle à l’aide de pièces musicales et d’extraits de films.

Plusieurs étudiants se sont plaints du montage sonore et du choix de films, qui, selon eux, laissaient à désirer. Bon nombre d’entre eux ont aussi dit ignorer la vraie raison du visionnement. Ce film avait en fait été montré aux élèves de la cinquième secondaire dans le cadre du lancement du projet histoire et culture.

Pour notre article de la deuxième édition du journal étudiant, nous aborderons la sortie du DVD de Passe-Partout, qui a beaucoup fait parler et dont les acteurs ont notamment été de passage à Tout le monde en parle. Nous avons choisi de décrire l'engouement créé par la série télévisée et des personnes qui adorent toujours cette émission et les personnages. Nous avons ensuite ensuite décrit le DVD en question qui est désormais offert sur le marché.

Nous avons trouvé quelques sources concernant notre sujet :

http://www.cyberpresse.ca/article/20060112/CPARTS/60112030/1017/CPARTS

http://www.radio-canada.ca/arts-spectacles/PlusArts/2006/11/20/002-passe-partout.asp

http://www.showbizz.net/section_quebec.php?article=20061120132329

http://www.ledevoir.com/2006/11/15/122889.html

http://www.cyberpresse.ca/article/20061121/CPARTS/61118009/1062/CPACTUEL